On l’oublie trop souvent : on ne voit que les vainqueurs. C’est le fameux biais du survivant. Ce piège mental nous pousse à surestimer les chances de succès en se focalisant uniquement sur ceux qui ont réussi… en ignorant tous ceux qui ont échoué. Résultat : une vision complètement déformée de la réalité.
En négo, ce biais peut coûter cher. Très cher. Copier les méthodes des "gagnants" sans voir les centaines d’échecs similaires ? C’est comme miser à la roulette sur les numéros sortis hier : pas très malin.
Pour éviter de tomber dans le panneau, il faut apprendre à voir ce qui ne se voit pas. Aller au-delà des success stories. S’intéresser aux données cachées. Creuser les échecs. Questionner les sources. Bref, prendre du recul et penser autrement.
Un exemple ? Une entreprise qui imite aveuglément la stratégie d’un leader du marché… sans voir toutes celles qui ont coulé en tentant la même chose. C’est l’arbre qui cache la forêt. Le culte des licornes, c’est bien joli, mais ça peut finir en mirage.
Ce qu’on voit n’est souvent que le sommet de l’iceberg. Et ce n’est pas parce que la bouteille est à moitié pleine qu’il faut oublier qu’elle est aussi à moitié vide. Il faut tout regarder. Tout analyser.
À retenir : "Un bon exemple vaut mieux que de le suivre.” – Aurélien Sholl.
Chez Scotwork, pour apprendre à négocier, on ne vous sert pas des histoires toutes faites : on vous propose des cas concrets, taillés pour VOUS, proches de votre réalité pro, inspirants et surtout… exploitables immédiatement, tout de suite, à forte valeur ajoutée, immédiatement, tout de suite !