La négociation est sans limites du moment qu’elle ne les dépasse pas ! Ainsi en matière d’immobilier, la négociation va-t-elle au-delà de la relation acquéreur vendeur, du crédit immobilier ou de l’assurance emprunteur… Elle concerne également l’intermédiaire : l’agence immobilière.
Dans un achat immobilier, voire une location, les frais d’agences, bien qu’incontournables, pèsent de manière conséquente dans notre projet immobilier. Rien de nous interdit de les négocier !
Si ce sont les agences qui fixent librement leurs honoraires (surtout vis-à-vis des propriétaires), ceux-ci fluctuent en fonction de la location du bien, du marché et d’une enseigne à l’autre. « Ils peuvent passer du simple au triple » souligne le journal 20 minutes.
Ainsi pour le même bien présenté par différentes agences, nous pouvons relever des pourcentages d’honoraires différents. D’une certaine manière, il est donc nécessaire de faire son marché et de comparer avant de choisir un intermédiaire qui réponde au mieux à nos souhaits, y compris en matière de tarification. Celle-ci sera impérativement déterminée avant la signature du mandat.
20 minutes rappelle également que plus la compétition entre agences est grande sur le marché dans lequel se situe le bien, plus nous sommes en position de force pour négocier leurs honoraires à la baisse. Sa rareté sera aussi un atout précieux, tout comme son prix. Plus les sommes en jeu sont importantes, plus un geste de l’agence pour obtenir le mandat est possible.
Quant à l’exclusivité du mandat, c’est là un argument qui plaide en faveur d’un nouvel effort de la part de l’agence à laquelle vous la proposez.