En plus de 21 ans, Xavier Debril vient d’animer cette semaine son 500ème stage aux techniques de négociation. Un chiffre aussi rond qu’éloquent, mais pour l’homme-orchestre de Scotwork en France, « ce n’est pas la quantité qui compte mais toujours aller de l’avant en anticipant les besoins et les exigences de ses clients. « Même si les fondamentaux de la négociation sont invariables, souligne-t-il, celle-ci doit sans cesse s’adapter à l’époque, aux évolutions sociologiques et professionnelles ainsi qu’au profil de nos clients ». Verbatim du président de Scotwork en France.
Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience du leader mondial du secteur, reconnu et référencé par ses multiples certifications officielles, couvrant tous les secteurs du monde économique, de la PME aux grandes industries, Scotwork en France est peu à peu devenu un acteur de référence sur son marché. Son mot d’ordre explique Xavier Debril, « l’excellence : une valeur managériale à l’honneur dans les années 90 mais qui retrouve enfin aujourd’hui un écho auquel tout le monde est particulièrement sensible, surtout dans des temps où l’on manque de repères ».
Quelle que soit la situation, la problématique, le secteur et les enjeux, les techniques de négociation dressent une colonne vertébrale offrant rigueur et flexibilité aux processus d’échanges. « Certes en 21 ans, analyse Xavier Debril, le profil de nos stagiaires s’est considérablement rajeuni, entre 30 et 40 ans, ainsi qu’un équilibrage entre les fonctions Achats et Ventes. Mais aujourd’hui, qui n’est pas en situation d’acheter et donc de négocier que ce soit dans sa vie professionnelle et/ou quotidienne ? La négociation, elle, ne varie pas, elle est fondée sur des principes immuables, même si les manières d’être ou de faire évoluent. »
Ainsi les comportements ont quelque peu évolué en matière de négociation lors de la crise sanitaire. « Le fait de négocier en distanciel a pu quelque peu désinhiber et développer l’agressivité. L’écran a vraiment fait écran ! D’où un esprit de négociation compétitive, mais cela aussi se gère avec la maîtrise de nos techniques. Et grâce au retour, je l’espère, des négociations en présentiel, moins virulentes, tout devrait rentrer dans l’ordre. »
Quand on lui pose la question des chatbots, ces négociateurs virtuels qui pourraient remplacer l’homme et dont le blog Scotwork se fait régulièrement l’écho, Xavier Debril sourit : « si l’on ne peut aller contre son temps et que certains échanges peuvent être traités de cette manière, est-ce bien là de la négociation ! Celle-ci recèle toujours une part de ressenti, d’imprévu, et de techniques à utiliser au bon moment… un algorithme, aussi pertinent soit-il ne peut et ne doit rester qu’un outil au service de l’homme et non l’inverse.
La négociation est promise à un bel avenir. Non seulement, elle fait partie du propre de l’homme : faire « commerce » avec l’autre et donc trouver un terrain d’entente. Et pour savoir obtenir, il faut savoir donner. Comment ? Grâce aux techniques qu’affine depuis ses origines Scotwork. En ce sens, Xavier Debril continue de tout donner : consultant, formateur, coach, entrepreneur… Heureux qui négocie !