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Sans vous mentir, comment vous dire ?

Thierry Bongat
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© Pixabay

Par peur des réactions de l’autre ou de l’équipe, de l’affrontement, de provoquer la colère ou la déprime, on se laisse parfois aller à des subterfuges qui ne trompent personne. Dans la série ne prenez pas vos propres vessies pour des lanternes !

Gaëlle Ginibrière l’écrit sur capital.fr, « Pour éviter certaines confrontations délicates, on préfère parfois recourir à des stratagèmes pas toujours appropriés »… Et ils se voient comme le nez au milieu du visage… vous savez celui de Pinocchio !

Les trois trompes l’œil à proscrire d’après capital.fr :

  • Faire passer une mauvaise nouvelle pour une bonne. Quand on essaye de noyer le poisson, celui-ci devient poison pour votre crédibilité. D’autant que l’aspect positif recherché à une incidence mineure sur la réalité du problème à l’inverse de l’impact négatif de ladite nouvelle facilement perceptible. La vérité peut faire peur mais la maquiller, c’est la travestir et au minimum entrainer une perte de confiance.
  • Agir comme si le problème n’existait pas. Souvenez-vous du fameux sketch de Dany Boon, « Je vais bien, tout va bien… », il vaut mieux présenter les choses telles qu’elles sont plutôt que telles que vous aimeriez les voir. Les œillères conduisent à l’aveuglement. Grand classique : dévoiler le haut de l’iceberg en masquant le plus important, contourner une situation pour éviter de l’affronter.
  • Minimiser la portée d’une situation. Au mieux vous ferez croire que vous vivez au pays de Oui-Oui, au pire que vous n’avez aucune empathie avec les personnes concernées. On ne peut éviter un obstacle en niant son existence. Il s’agit de le reconnaitre pour tenter de trouver des solutions, y compris d’évitement.

 

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