Une récente étude américaine tend à démontrer que la manière dont un repas est servi et consommé peut stimuler la coopération (RTBF/AFP), notamment en cas de coopérations commerciales. Vive les négociations savoureuses !
En cette période de fêtes de fin d’année, la table est bien évidemment à l’honneur. Si partage et convivialité sont donc à la fête, ils le sont également à la table de négociation.
Le site RTBF Tendance évoque ainsi une étude de la Chicago Booth School of Business publiée dans la Revue Psychological Science. Celle-ci démontre que « si un repas est partagé, ou encore mieux les plats qui le composent, comme dans la culture chinoise ou indienne, la collaboration sera plus optimale et profitable ».
Durant la phase de recherche, il fut ainsi prouvé que « les équipes qui partageaient leur nourriture ont finalement conclu un accord en quatre fois moins de temps que celles qui avaient un plat individuel ». Ce ne sont pas les qualités de négociateurs qui ont fait ici la différence, mais la « nécessité de se coordonner et de trouver une harmonie dans les mouvements » pour consommer un plat à plusieurs.
Pour résumer : A toute faims utiles, il faut savoir mettre les pieds dans le même plat, ou plutôt la main à la même pâte !
Bon appétit…