La hausse des prix de l’immobilier influe logiquement sur les marges de négociations. Celles-ci sont de plus en plus restreintes, comme le démontre la publication du dernier baromètre LPI-Se Loger.
« Hausse des prix, des vendeurs qui campent sur leurs positions, une demande qui se renforce…. Voilà un mauvais cocktail pour la marge de négociation des potentiels acquéreurs » écrit Sarah Ahasali dans investir.les échos.fr qui s’appuie également sur les propos de l’économiste Michel Mouillard : « dans le détail, la marge de négociation pour les maisons recule rapidement depuis la fin du printemps pour s’établir à son plus bas niveau depuis 2012 ». 4,5% pour les maisons et 3,2 % pour les appartements.
Dans un contexte nettement moins favorable aux acheteurs, rappel de quelques conseils publiés par Blandine Horner sur seloger.com :
Négociation immobilière : la check-list indispensable
- Renseignez-vous sur l’état du marché local.
- Sachez depuis combien de temps le bien est en vente.
- Appuyez-vous sur votre budget.
- Repérez les points faibles du logement que vous avez visité.
- Préparez vos arguments à l’avance.
- Annoncez un prix très bas pour pouvoir refaire des offres plus élevées.