Petit clin d’œil en cette journée en trompe… l’œil où certains médias rivaliseront d’imagination pour vous faire croire à l’impossible. “Pour moi, une journée sans canular, c'est un gruyère sans trou”, il est « vrai » que pour Francis Blanche, chaque jour se devait d’être une farce avec ou sans dindon, pour le plus grand bonheur de nos concitoyens.
Ainsi le 1er avril illustre t-il cet art de la mystification dont la tradition remonterait à l’antiquité et au Moyen-Age (le jour des fous). Le poisson d’avril marquerait la fin du jeûne du carême lié à la Pâques… le poisson étant un symbole chrétien par excellence et occupant une place alimentaire très importante à l’époque.
Reste que cette tradition s’est perpétuée sur quasiment toute la surface du globe.
Et en parlant de surface du globe, saviez-vous que 55% de celle-ci, comme titre lemonde.fr, est « un no man’s land en quête de lois » (cliquez ici).
Depuis lundi dernier, les « gros poissons » de 196 Etats « lancent les préparatifs des futures règles régissant un colossal espace, la haute mer. De la surface jusqu’aux fonds et aux sous-sols, c’est un univers de non droit rappelle Le Monde. « La session de deux semaines qui débute à New York va donner le ton sur des sujets très sensibles comme le partage des ressources génétiques marines et des savoirs conduisant à leur exploitation, l’obligation de réaliser des études d’impact environnementales avant tout projet d’exploitation ».
Comme le précise un diplomate du Quai d’Orsay, il s’agit là de « la vraie grande négociation internationale des cinq à dix prochaines années ».
Un sujet « phare » pour le blog de Scotwork dont les colonnes « plongeront en profondeur » dans les coulisses et arcanes.
Le poisson d'avril, du non négociable; et la haute mer, des négociations... au long cours.
En attendant, aujourd'hui, gardez le pied "marrant" ! Bonne journée, prétexte à sourire un peu, beaucoup… à la folie ?